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LE DOPAGE EST-IL INELUCTABLE DANS LE MONDE DU SPORT ?

LE DOPAGE EST-IL INELUCTABLE DANS LE MONDE DU SPORT ?
  • Nous avons décidé de créer ce blog pour mettre en évidence les risques du dopage, son coût, et comment nous pouvons le contrer. Afin de répondre à toutes les questions que l'on puisse se poser, nous allons mettre en oeuvre un certains nombres d'articles.
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26 février 2012

Plan

1. Les différentes conditions favorisant le développement du dopage.

 - Aspect culturel

 - Norme, Valeur, éthique

 - Aspect médiatique

 - Culte de la performance

- Pressions

 - Inéluctabilité dans certains sport

 - Rappel des sport « à la mode »

- Les sports les plus touchés

- Exemples de sportifs dopés

 

2. Le développement du dopage qui favorise son inéluctabilité

 - Techniques de dopage plus efficace

 - Les différents produits

- Où se procurer les produits ? ( facilité )

 - Mais cela peut entraîner des problèmes de santé

 - Enjeu médicale

 

3. Mais il existe certains freins pour contrer ces techniques illégales

 - Politique

 - Différentes Lois ( International / France / Européenne )

- Différentes organisations

 - Contrôle antidopage

 - Les moyens mis en œuvre

- Coût des dépistage …

 -Sensibilisation

 - Prévention

-Engagement (Ministre) et action (à différentes échelles)

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26 février 2012

Introduction

Le dopage, ce fléau qui se repend dans la quasi-totalité des sports de nos jours, est avant tout un choix de la société. En effet, le fait de doper ou de se doper soit même résulte d’une envie de toujours vouloir faire plus que l’autre, souvent sans faire attention aux conséquences que cela peut engendrer. Les causes d’une telle envie sont nombreuses, la première reste toujours l’argent, mais la fierté ou encore l’envie de toujours faire mieux peuvent rentrer en cause. Dans tous les cas, toutes les actions concernant ce phénomène sont interdites et sanctionnées par la loi, suffisamment... ?

 Le dopage est-il inéluctable dans le monde du sport ?

 Nous verrons ce qu’est vraiment le dopage, quelle sont les différentes méthodes et les risques qu'elles entraînent. Nous passerons ensuite en revue les sports les plus touchés, pour ensuite montrer l’évolution du phénomène dans le temps, avec un court rappel des produits les plus utilisés. Nous verrons enfin comment la société s’y prend pour tenter de contrer le dopage, avec les différentes lois mise en place, les actions de sensibilisation...

26 février 2012

1. Les différentes conditions favorisant le développement du dopage.

Dans la société actuelle comme dans les précédentes le sport au sens large est au cœur de tout les débats, que sa soit pour la jeunesse, le bien être et la santé, ou encore pour toutes les compétitions sportives ayant lieu tout au long de l'année. Depuis de nombreuses années les enceintes sportives ont une capacité de réceptions de plus en plus grande (Stade de France inauguré en 1998 pour la Coupe Du Monde a une capacité de 80 000places, le stade de Maracaña comptait au début 200 000 places construit a l'occasion de la coupe du monde 1950.) La question qui subsiste encore est Pourquoi se doper? Nous verrons que le dopage est de plus en plus présent dans le monde sportif contemporain étant avant tout un «choix» ou une déviance de la société, qu'il est maintenu et accru par la présence des médias qui «s'acharnent» contre les sportifs puis enfin la forme d’un phénomène incontournable présent dans nos sports les plus reconnus tel que le football, le cyclisme, l'athlétisme...

 

Aspects culturels

Le dopage est d’abord un choix de société. C’est le choix d’une société "de la performance", matérialiste et capitaliste. Le sport étant caractériser par l’égalité des chances le dopage est fondamentalement illégal et une déviance a ce principe d’égalité car le sportif le plus riche bénéficiera du meilleur produit résultant parallèlement au problème de la société capitaliste actuelle qui se caractérise par le profit et l’obtention du meilleur produits au plus offrant et non au premier demandeur. Nous pouvons concéder que la compétition a un but de faire grandir le sportif par le dépassement de ces limites mais depuis une dizaines d’années ce dépassement se fait beaucoup par le recours au dopage. Le dopage reste encore aujourd’hui une transgression de l’éthique du sport en elle-même car cette éthique traditionnelle que connais le sport a pour but de récompenser un athlète pour ces performances en fonctions de ces capacités naturelles et non pas de récompenser le produit qui a permis le dépassement de ces limites et l’accomplissement d’exploits sportifs. Le dopage apparait comme une des nombreuses formes de déviances au même titre que la violence, la tricherie, la corruption car cela réfute les règles antiques du sport. Il est par ailleurs possible de considérer au contraire que la pratique du dopage répond en conformité certes excessives des normes de performances et de dépassement de soi qui sont en outre les normes fondamentales du sport. Notre société demande aux sportifs de répondre à ces normes et le dopage leur apparaît comme un moyen facile de répondre aux exigences sociétales. Pour certains qui voient le corps comme un outil de travail, le sportif est vu comme un travailleur dans une société capitaliste qui doit gérer la durée de sa carrière et tout faire afin de la préserver et d’optimiser son profit. L’intensité de son travail, ses blessures, son stress, la pression… voit dans le dopage un moyen facile pour gagner ou rester en course le plus longtemps possible afin de faire durer sa carrière un maximum.

Nous savons que le dopage est aussi vieux que le sport lui-même, néanmoins depuis le début du siècle ce dopage sportif a fortement évolué. Des hormones de croissances à l’érythropoïétine (EPO) en passant par les stéroïdes anabolisants, les bêta bloquants et même la cortisone et certain antidouleurs sont employés afin d’accroître les performances des sportifs ou de réduire les sensations gênantes type fatigue, stress… Nous pouvons malheureusement constater que le dopage devient de plus en plus efficace, qu’il tu énormément bien que cela ne fasse pas partie du TPE mais il est de plus en plus facile a se procurer des produits dopants, il est de moins en moins contraignant et il est surtout de moins en moins repérable se qui entraîne peu a peu une destruction de l’image du sport.

Le dopage chez les sportifs de haut niveau apparaît de plus en plus jeune, une enquête révèle qu’auprès des 11-19 ans 17% reconnaisse avoir eux recours a des prises de médicaments contre le stress, la fatigue ou la nervosité car étant parfois obliger de quitter le domicile familial et la région les jeunes sportifs sont fragilisés et donc ont plus facilement recours au dopage par manque de repère, emploi du temps surchargé (entraînement intensif, médias…). Le dopage est donc encore et toujours un problème contre lequel il faut lutter sans relâche afin de parvenir un jour peut être à le voir disparaitre définitivement des devants de la scène sportives internationales.

Aspects médiatiques et personnels


La montée en puissance des valeurs de la concurrence économique et de la compétition sportive dans la société française, a «propulsé» un individu à la conquête de son identité personnelle et de sa réussite sociale, sommé de se dépasser dans une compétition sportive. Certitudes sportifs sur d’avoir atteints leurs limites, et voulant par fierté et/ou pour faire honneur aux personnes qui le soutiennent et/ou pour être au niveau des autres sportifs dopés ou seulement pour être « sous le feu des projecteurs » ont recours aux dopages afin de récompenser les efforts fournis pour atteindre le haut niveau.


Le dopage sportif est un phénomène très largement médiatisé qui choque régulièrement l’opinion publique et de se fait détruit l’image du sport faisant douter de toutes performances sportives. D’après certaines études la pression médiatique juste derrière la volonté de gagner par tous les moyens ou encore de vouloir donner du plaisir aux publics qui en demande toujours plus intervient comme un des facteurs les plus «dangereux» favorisant ainsi le dopage. Les médias interviennent de manière excessive dans les diverses compétitions (programmation des rencontres en fonction des heures de grandes écoute afin de faire de l’audience et d’accroitre ces profits personnels (JO de Seoul en 1988). D’autres médias créent des compétitions (le journal L’Equipe crée le Tour de France en 1903, ces compétitions parfois soutenu par les fédérations entrent dans le calendrier déjà rempli des sportifs qui provoque un «surmenage» et qui explique en partie les raison qui les poussent à avoir recours a des substances dopantes tout cela afin de tenir devant la multitude de compétitions, d’entrainements… Les médias peuvent aussi faire pressions sur les comités organisateurs avec l’appui financier reliant encore et toujours au capitalisme accru dans notre société, voulant eux attirer toujours plus de spectateurs en rendant les étapes du tour de France par exemple de plus en plus longues et difficiles afin de donner du spectacle pour les personnes qui observent et encouragent les sportifs. Nous pouvons donc conclure que les médias sont un facteur non négligeable dans l’évolution du dopage bien qu’il n’explique que très peu de raisons.

Inéluctabilité dans certains sports

Avec 9 293 440 sportifs licenciés en France en 2010 nous pouvons dors et déjà constater que le nombre de licenciés diminues constamment depuis 2007. Deux raisons peuvent sembler logiques, la première est d’un point de vue économique, les familles n’ont plus les moyens pour les loisirs tels que le sport. La seconde pouvant être liée au dopage et a cette destruction massive de l’image du sport causant un certain désintérêt du sport liée a la pression médiatique qui rend le monde du sport de haut niveau un monde ou règne la corruption et la triche.
Les sports à la mode en France restent le Football, suivi du Tennis puis de l’Equitation, du Judo et enfin du Basket Ball. Aujourd’hui il est très difficile de dire quel sport est le plus touché par ce fléau mais les principaux restent le Football, le Cyclisme, le Rugby, le Basket Ball et l’Athlétisme.
Pour conclure nous allons vous citer quelques grands noms du sport de haut niveau célèbre de leurs exploits sportifs mais entacher par leur contrôle positif à différentes substances dopantes.
Ben Johnson, né le 30 décembre 1961, de nationalité canadienne et originaire de la Jamaïque, est un sprinter canadien. Faits marquants : il a été reconnu coupable de dopage après avoir gagné la finale du 100 mètres masculin aux Jeux Olympiques d'été de 1988 à Séoul.
Marco Pantani (Cesenatico le 13 janvier 1970-Rimini le 14 février 2004), cycliste Italien, fut un des meilleurs grimpeurs de l'histoire du cyclisme sur route. Sa carrière connut un grave revers en 1999, quand il fut suspendu du Giro d'Italia qu'il était sur le point de remporter, à la suite d'un contrôle sanguin positif. Cet épisode précipita la fin de sa carrière. Il est décédé d'une overdose de cocaïne en 2004.

Kolo Touré contrôlé positif à une substance dopante (EPO), le défenseur de Manchester City, a été suspendu par son club pour une durée indéterminée.

Alberto Contador il est reconnu coupable de dopage au clenbuterol le 6 février 2012.

La liste est longue mais nous en resterons la en se qui concerne les sportifs de haut niveaux dopés.

26 février 2012

2. Le développement du dopage qui favorise son inéluctabilité

Techniques de dopage plus efficace

 Les stimulants

Les amphétamines, la cocaïne, la caféine et les produits dérivés sont les plus utilisés.
Les stimulants sont consommés pour accroître la concentration, l'attention, réduire la sensation de fatigue. Ils augmentent l'agressivité et font perdre du poids. Ces produits interviennent sur le système cardio-vasculaire et neurologique. Leur consommation peut entraîner des troubles psychiatriques.
Le dépassement du seuil physiologique de la fatigue entraîné par l'usage de ces substances peut provoquer de états de faiblesse pouvant aller jusqu'à l'épuisement, voire jusqu'à la mort.

Les agents anabolisants

Pour la plupart, dérivés de la testostérone, l'hormone sexuelle mâle. Ces produits (nanoplancton, stanozol, etc.) développent les tissus de l'organisme : les muscles, le sang... Ils permettent d'augmenter la force, la puissance, l'endurance, l'agressivité, la vitesse de récupération après une blessure. Certains agents diminuent les douleurs, en particulier articulaires.
Selon la dose consommée, ces produits provoquent des tendinites, de l'acné majeure, des maux de tête, des saignements de nez, des déchirures musculaires, des troubles du foie, voire des cancers et des troubles cardio-vasculaires pouvant entraîner le décès.
Les agents anabolisants peuvent entraîner une dépendance physique.
Les «vertus» en sont les suivantes :
- à faible dose, elle ne reste que quelques jours dans les urines
- elle aide à mieux supporter les doses de médicaments que doit prendre un sportif en retour de blessure
- meilleure récupération à des effets renouvelés
- favorise la confiance en soi, l'agressivité
- fait fondre les graisses
C'est un produit qui est retrouvé dans tous les sports.

La prise de testostérone peut provoquer des intoxications avec lésions de cellules du foie, augmenter le risque de cancers et d'accidents cardio-vasculaires.
Chez l'homme l'injection de testostérone inhibe la production de cette hormone par l'organisme et peut conduire à des atrophies des testicules. Enfin, une partie des hormones stéroïdes est susceptible de se transformer en ½ oestrogène (hormone féminine) et engendrer la formation de seins chez des sujets masculins. Mais dans l'ensemble, l'effet des stéroïdes anabolisants sur les caractères secondaires sexuels se fait plutôt sentir dans le sens inverse.
Étant une hormone masculinisant, la testostérone provoque, chez la femme, la survenue de caractères masculins. En moins d'un mois, le visage et le dos se couvrent d'acné dans plus d'un cas sur deux ; les secrétions de sébum gras augmentent au niveau de la peau et des cheveux (récepteurs cutanés). La libido est souvent exacerbée. En quelques mois, la voix devient rauque (les cordes vocales s'épaississent), les cheveux deviennent plus fins et moins long, leur chute s'accroît. Une calvitie précoce peut apparaître au niveau des lobes frontaux. En revanche, le menton et le dessus de la lèvre supérieure se couvrent de poils. La toison pubienne s'agrandie vers le bas. La face interne des cuisses, le tour des mamelons et la région située entre les seins se couvrent d'une pilosité typiquement masculine. Les règles sont stoppées, le clitoris et les grandes lèvres ont tendance à grandir, les seins s'atrophient, le bassin s'affine tandis que les épaules s'élargissent. Selon le régime alimentaire, les muscles peuvent grossir, leur relief s'accroît. Les comportements tendent vers une recherche effrénée de plaisir et une agressivité décuplée.

Les corticostéroïdes

Les corticoïdes sont des hormones stéroïdiennes secrétées par des petites glandes situées juste au-dessus des reins. Les plus connues de ces hormones sont certainement le cortisol (hormone physiologique) et la cortisone.

Au niveau biologique, elles ont un effet exactement inverse à celui des hormones anabolisantes de la même classe (stéroïdes anabolisants). Alors que ces dernières puisaient dans les réserves pour faire du muscle, elles contribuent à former des produits utilisables par ces mêmes muscles (sucres) en puisant dans les réserves de protéines.
Ces substances anti-fatigue ont une action psycho stimulante et anti-inflammatoire. Elles augmentent la tolérance à la douleur et permettent de poursuivre un effort qui serait insupportable dans des conditions normales.
La consommation de corticostéroïdes entraîne en particulier une fragilité des tendons, des déchirures musculaires, des infections locales et générales. Les symptômes vont de la simple fatigue chronique avec une chute des performances, à une défaillance cardio-vasculaire pouvant conduire au décès. Hormis la fonte musculaire déjà citée, la seconde conséquence physiologique néfaste résultant d'une prise de corticoïdes est un déséquilibre hydroélectrique qui se manifeste par des œdèmes et une prise de poids par rétention d'eau. Pour limiter ces effets, ces substances sont souvent associées à la prise d'anabolisants et de calcium.
Par ailleurs, l'absence de perception des signes douloureux peut conduire aux mêmes extrémités que celles rencontrées dans le cas des amphétamines (épuisement). Enfin, des troubles psychotiques peuvent intervenir. Ces désordres sont toutefois plus modérés que ceux découlant de la prise d'amphétamines.
Les corticostéroïdes peuvent entraîner une dépendance physique.

Les narcotiques

Ces substances assoupissent et engourdissent la sensibilité. Les narcotiques, tels que l'héroïne, la méthadone et la morphine sont essentiellement utilisés pour leur action contre la douleur. Ce sont cependant des drogues induisant, elles aussi, une dépendance rapide. À court terme, les risques d'accidents cardiaques ou respiratoires dus à une overdose sont, là encore, très importants.
Ils sont utilisés pour supprimer ou atténuer la sensibilité à la douleur, et provoquer une impression de bien-être. Ils entraînent des effets nocifs : risques de dépression respiratoire, d'accoutumance et de dépendance physique, diminution de la concentration et de la capacité de coordination.

Les bêtabloquants

Ces médicaments régulent et ralentissent le rythme de la fréquence cardiaque. Ils permettent une diminution des tremblements et ont également un effet anti-stress. Ils ont une action antiarythmique et antihypertensive.
Parmi leurs effets nocifs, on note une impression de fatigue permanente, des chutes de tension artérielle, des crampes musculaires, un risque de dépression psychique et une impuissance sexuelle en cas d'utilisation habituelle et répétée, sans oublier les autres conséquences sur le système nerveux central comme l'insomnie et le refroidissement des mains.
Etant donné que les bêtabloquants atténuent l'angoisse, ralentissent le rythme cardiaque et empêchent les tremblements, ils sont utilisés dans le cadre de disciplines sportives comme le tir, le biathlon, le tir à l'arc, les courses automobiles, le saut à ski et le billard.
Comme il existe un large éventail de préparations de remplacement efficaces et que les risques d'abus à des fins d'amélioration de la performance sont nombreux, les bêtabloquants font partie des classes d'agents interdites par le CIO.

Les amphétamines

Cette substance appartient à la classe des stimulants. Les amphétamines sont des substances excitantes qui, à court terme, ont un effet euphorisant et améliorent la capacité de performance physique. La structure chimique des amphétamines est analogue à celle l'adrénaline et de la noradrénaline, qui sont des hormones endogènes, ce qui explique qu'elles aient un effet similaire sur l'organisme.
Ces substances libèrent des produits chimiques qui agissent sur le cerveau et les glandes surrénales, ce qui provoque une constriction des vaisseaux sanguins, une augmentation de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle.
L'utilisateur se sent plein d'énergie, vif et confiant en lui. Les athlètes prennent des amphétamines pour être plus agressifs, plus vifs et pour diminuer la fatigue.
Les effets indésirables sont qu'ils provoquent anxiété, agitation et trouble du jugement. Une utilisation massive rend parfois les sujets paranoïaques, crée des problèmes cardiaques, de pression artérielle et des convulsions. Il a été signalé des " coup de chaleur " mortels chez des sportifs sous amphétamine, car ces drogues diminuent l'apport de sang à la peau, ce qui peut gêner la régulation de la température du corps.
Répercussions sur l'organisme
-troubles cardiaques graves, trouble du rythme et arrêt cardiaque
-troubles psychiques
perte de la mémoire, dépression sévère, hallucinations, délire schizophrénique, agressivité incontrôlable, accompagnés d'un effet de manque lors du sevrage
-troubles physiques
tremblement des extrémités, dilatation des pupilles, insomnies, diminution de l'appétit, accompagnée d'une perte de poids importante
-hypertension marquée et céphalée

L'utilisation d'amphétamines est particulièrement dangereuse lors de la pratique d'un effort physique. En effet, le recul du seuil de la fatigue conduit le sportif à dépasser ses limites au delà de l'épuisement, ce qui peut avoir des conséquences graves, parfois mortelles.

Érythropoïétine (EPO) performances aérobics

L'EPO est une hormone protéique habituellement produite par le rein. De ce lieu de sécrétion, elle migre dans la moelle des os où elle stimule la production des érythrocytes (globules rouges).
Hormone glycoprotéine (actuellement fabriquée par génie génétique), cette substance est très dangereuse. C'est la version synthétique de l'hormone qui stimule chez l'homme la production de globules rouges du sang, transporteurs d'oxygène. Elle augmente ainsi les performances dans les sports d'endurance.

Cette substance remporte un large succès auprès des sportifs du fait qu'elle est très efficace et également très difficile a détecter car le test permettant la détection est très coûteux (environ 15000F par test) et nécessite plusieurs jours d'analyse.

Le dopage à l'Epo est l'une des pratiques les plus connues mais aussi l'une des plus décriées comme lors de l'affaire Festina.

 

Comment se procurer ces produits ?

De nos jours de nouvelles formes de produits apparaissent. Ces nouvelles méthodes, sont très difficilement repérable... Et tout ces produits sont facilement trouvable, en pharmacie... Et cela a moindre coût. Il est donc très facilement possible de se Dopés. Cela favorise donc l'inéluctabilité du dopage dans le sport, car un sportif plutôt moyen qui ne gagne pas souvent, va être tenté par ces méthodes illégales pour enfin pouvoir gagner des trophées dans son sport respectif. Et cela avec un risque plutôt minime de se faire dépistés...

 

Mais cela peut entraîner des problèmes de santé

Les risques du dopage sont nombreux et très importants. En effet, les sportifs mettent sans cesse leur vie en danger. Les effets nocifs dépendent de nombreux paramètres tels que la nature des substances consommées, la durée de consommation, les conditions d'administration, ou encore l'état général du sportif. Les risques encourus par les sportifs de niveau régional ou national sont bien plus important et plus immédiat que les sportifs de niveau international. Mais ce n'est pa le fruit du hasard, en effet ils sont souvent moins suivi médicalement et n'ont pa les moyens d'acheter des produits de bonne qualité.
Parlons maintenant des produits; il existe 5 classes de substances interdites: les stimulants, les narcotiques, les stréroïdes anabolisants, les diurétiques et les hormones peptidiques (voir le détail à la fin du site). Chaque famille de substances dopantes interdites ont leurs conséquences caractéristiques sur le corps humain.

Quels sont les risques encourus précisément pour chaque classe de substance ?

Les stimulants

Les stimulants tels que les amphétamines, la caféine(en excès), l'éphédrine, ou encore la cocaïne, sont utilisés parce qu'ils procurent une sensation d'euphorie. Malheureusement ils entraînent des risques majeurs. En effet, l'athlète dopé court le risque de dépasser parfois gravement ses limites physiologiques entraînant une dépendance rapide conduisant à la toxicomanie. A court terme, les stimulants peuvent provoquer des accidents respiratoires et cardiaques, la détente physique laisse la place à une nervosité incontrôlable
et à une fatigue intense; les mouvements sont mal coordonnés. La dépression et le découragement remplace l'euphorie du début.

 Les narcotiques

A court terme, l'utilisation de narcotiques tels que l'heroïne ou la morphine conduit à une diminution de la capacité de coordination, des nausées et des vomissements très douloureux. Mais les risques d'accidents cardiaques ou respiratoires dus à une overdose (elle-même due à la dépendance rapide à cette drogue)sont aussi très importants. Les narcotiques peuvent entraîner bien entendu une mort subite après un arrêt cardiaque.

Les anabolisants

 Les anabolisants tels que la testostérone ou la nandrolone sont des substances de synthèse proche de la testostérone fabriquée par l'homme. Ils ont une ativité néfaste sur pratiquement tous les organes du corps. La plupart du temps la prise d'anabolisant par voie orale entraîne une inflammation du foie, voir un cancer. La régulation hormonale est troublée, parfois même stoppée. Ils agissent sur le métabolisme des lipides, accroissant ainsi le risque d'infarctus. De plus, les anabolisants retiennent une quantité d'eau très importante dans le corps et les muscles, ce qui entraîne une élévation de la pression sanguine et une surcharge du système cardio-vasculaire.
A long terme, ils provoquent chez la femme une virilisation irréversible,et chez les athlètes des 2 sexes des troubles de l'humeur et du désir sexuel,et des risques accrus d'accidents musculaires. Ils provoquent aussi une augmentation de l'agressivité.

Les diurétiques

A court terme, les diurétiques entraînent one déshydratation et une insuffisance rénale. Ces risques sont bien plus importants à long terme : hypertension artérielle, graves crises d'hypotension et insuffisance cardiaque.

Hormones peptidiques

Les hormones peptidiques telles que l'hormone de croissance ou l'érythropoïèse (EPO° ont des actions très variées.
L'hormone de croissance permet une augmentation massive et rapide de la masse musculaire, mais ses effets secondaires sont très destructeur :tumeurs cancéreuses,troubles psychiatriques etc....L'EPO,l'hormone peptique la plus connue,est une hormone naturelle produites par les reins,elle augmente le nombre de globule rouge,et favorise donc l'oxygénation des muscles .Mais le sang devient plus visqueux, avec des risques de boucher de petites artères comme les artérioles ou encore les coronaires. Cette hyperviscosité du sang peut donc conduire à une thrombose ( à la formation d'un caillot dans le sang),à un accident vasculaire cérébral,et même à un coma, mais aussi au décès de l'athlète

26 février 2012

3. Mais il existe certains freins pour contrer ces techniques illégales

Politique

 La France est l’un des premiers pays européens à avoir pris des dispositions législatives à l’encontre des conduites dopantes dans le milieu du sport de haut niveau.
Elle est restée longtemps l’un des seuls pays à disposer d’une législation spécifique aux conduites dopantes dans le domaine sportif. Différentes lois se sont succédées depuis 1965 : La loi Herzog du 1er juin 1965, la loi Bambuck du 28 juin 1989, la loi Buffet du 23 mars 1999, la loi du 5 avril 2006.

La dernière en date est la loi n°2008-650 du 3 juillet 2008 qui étend la pénalisation, au delà de l'usage, à la simple détention de produits ou procédés interdits et prend en compte les exceptions liées à un besoin thérapeutique, les procédures de contrôle sont également plus détaillées. Enfin les incriminations pénales concernent, outre la vente ou la cession de produits, la fabrication, la production, l’importation, l’exportation et le transport de ces produits.

Par ailleurs, une convention contre le dopage a été signée à Strasbourg le 16 novembre 1989 par les états membres du Conseil de l’Europe. Cette loi de 1989 fût une avancée importante dans la lutte contre le dopage. Elle dépénalise l'usage des produits dopants mais pose le principe de l'interdiction du dopage sportif qu'il s'agisse des humains ou des animaux. Des textes d'application l'ont complétée en 1991 et 1992.

Pour prévenir et lutter contre le dopage, la loi du 5 avril 2006 modifiée par celle du 3 juillet 2008 a mis en place une haute autorité, l'Agence Française de Lutte contre le Dopage, chargée de "définir et mettre en œuvre les actions de lutte contre le dopage" (Articles L232-5 à 8 du Code du Sport).
Cette agence définit et met en œuvre les programmes de contrôle. Elle a également un pouvoir de sanction.
Elle délivre les autorisations d'usage de produits à des fins thérapeutiques.
Elle participe aux actions de prévention, d'éducation et de recherche mises en oeuvre en matière de lutte contre le dopage.
Elle est consultée sur tout projet de loi ou de règlement relatif à la lutte contre le dopage. 
Elle est associée aux activités internationales dans le domaine de la lutte contre le dopage.
Elle remet chaque année un rapport d'activité au Gouvernement et au Parlement. Ce rapport est rendu public.

Cette agence succède au "Conseil de prévention et de lutte contre le dopage" (CPLD), mis en place précédemment par la loi Buffet.

Nous allons maintenant voir la politique internationale contre le dopage. La première campagne contre le dopage est organisée par le mouvement olympique à l'occasion des Jeux de Rome en 1960. En 1963, le Conseil de l'Europe publie la première liste des substances dopantes interdites. En 1964, la British Association of Sport and Medecine (Association britannique de sport et de médecine) fait parvenir à toutes les fédérations sportives dans le monde une définition du dopage pour sensibiliser et les inciter à lutter contre cette pratique déloyale. Discipline concerné au premier chef par le dopage, le milieu du cyclisme s'est lancé très tôt dans la lutte antidopage. Une première opération a été lancée dans les années soixante par l'Union Cycliste Internationale (UCI). Elle s'est soldée par un échec. Elle a contribué à cristalliser toutes les critiques sur un seul sport : le vélo. Les coureurs cyclistes se sont alors montrés très hostiles aux premiers contrôles imposés en 1966. En diffusant le nom des produits utilisés pour se doper, elle les a fait connaître à d'autres coureurs. Destinée à circonscrire le dopage, cette campagne a eu exactement l'effet inverse.

Nous allons maintenant voir le fonctionnement de l'Organisme antidopage canadien (OAC). C'est une organisation indépendante et sans but lucratif, créée au début des années quatre-vingt-dix et financée par le gouvernement fédéral. Ses missions touchent tous les aspects de la lutte antidopage, de la prévention aux contrôles en passant par la recherche. Les organisations sportives nationales sont chargées d'élaborer des politiques et des règlements sur le dopage qui s'appliquent à tous les niveaux du système sportif au Canada. Elles mettent en œuvres des mesures antidopage concrètes : elles sont responsables des contrôles et de la prévention auprès des sportifs. Pour recevoir des fonds du gouvernement fédéral, elles doivent accepter de relever de l'OAC. Les organisateurs de toutes manifestations sportives veillent à ce que la politique antidopage canadienne soit respectée lors des événements dont ils ont la charge.

 

Contrôle Anti-dopage

 La lutte contre le dopage fait partie des prérogatives du ministère de la Jeunesse et des Sports qui garantit des « conditions de pratique des activités physiques et sportives conformes aux principes définis par l'article premier d la n°84-610 du 16 Juillet 1984 relative à l'organisation et à la promotion des activités physiques et sportives ».

 Le Comité National Olympique et Sportif Français a décidé de devenir acteur dans la prévention sportive contre le dopage. Il a mis en place en 1997 l'Agence de Prévention Sportive contre le Dopage.

L'ASPD a été créer pour sensibiliser, informer et prévenir les pratiquants actuels et potentiels ainsi que leur encadrement, sur les bienfaits de la pratique de la pratique sportive et les dangers du dopage. Elle est complémentaire avec le ministère de la Jeunesse et des Sports. Ils ont mis en place un dispositif législatif et répressif, pour mener une action de prévention sportive de long terme. Elle est maintenant appelé l'Agence Française de lutte contre le dopage ( AFLD ). Depuis le début des années quatre-vingt-dix, le ministère a renforcé son action de lutte. Entre 1889 et 1990, avec la promulgation de la loi de 1889 qui prévoit la création du laboratoire national de dépistage du dopage, le budget consacré à la lutte antidopage a presque doublé, passant de 3,8 à 6,8 millions de francs. Il s'est ensuite stabilisé, autour de 7 millions de francs, jusqu'en 1993. En 1994, il est passé à 8,6 millions de francs alors que le nombre de contrôles baissait sensiblement, de 8089 à 7535. Depuis 1994, la politique a consisté à multiplier les contrôles hors compétition : ceux-ci sont plus significatifs puisque le dopage est plus intensif lors des épreuves. A budget constant, le nombre de contrôles n'a cessé de baisser pour atteindre 5228 en 1997. Le doublement de ce budget qui s'élève en 1998 à 16,8 millions de francs a permis en particulier de rétablir le nombre de contrôles au niveau de 1993. De nos jours les moyens financiers mis à disposition ont logiquement suivi une courbe ascendante. En 2002, il est ainsi prévu que le budget consacré par le Ministère de Sports à la protection de la santé des sportifs et à la lutte contre le dopage s'élève à 24,24 millions d'euros soit 159 millions de francs contre 5,64 millions de francs en 1997, soit une hausse de plus de 300%.

 

Sensibilisation

 L'action du ministère de la Jeunesse et des Sports se résume en trois points : prévention, surveillance médicale et éducation. Des campagnes de prévention et sensibilisation sont menés en coopération avec le gouvernement sportif. La surveillance médicale concerne des examens médicaux menés sur plusieurs années auprès des sportifs ainsi que des contrôles ponctuels pratiqués lors et hors de compétitions. L’éducation s'inscrit dans une stratégie générale d'information et de sensibilisation pour lutter efficacement contre le dopage, il faut expliquer aux sportifs les dangers auxquels il s'exposent et surtout leur proposer autre chose. Il faut également agir sur les causes du dopage comme l'inflation des rencontres prévues par les calendriers et les surcharges d’entraînement. Plusieurs opérations, dans les clubs, les associations, ou les écoles, sont ainsi mis en place pour sensibiliser les personnes. Trois principales outils sont utilisés. Une bande vidéo, intitulé Le piège, retrace le parcours d'un athlète dopé, forcé de faire le point à un moment de sa vie. Une cassette audio, intitulé Le Corps entendu, donne un aperçu, par le biais d'interviews, des problèmes soulevés par le dopage. Enfin, un classeur qui fait le point sur le sport dans la société, le dopage, les groupes-cibles d'une lutte anti-dopage. Pour agir, le ministère de la Jeunesse et des Sports peut compter sur le renfort des autres départements ministériels et sur l'aide des ses services déconcentrés. Dans chacune des directions régionales Jeunesse et Sports, un médecin et un «administratif» sont chargés d'organiser et de participer à toute l'action de lutte contre le dopage. Plusieurs ministères sont concernés par la lutte contre les pourvoyeurs de dopants : la Justice pour diligenter les enquêtes, l’Intérieur ( la police ) et la Défense ( la gendarmerie ) pour mener les investigations, l’Économie et les Finances ( douanes ) pour le contrôle des substances dopantes aux frontières, et la Santé qui doit faire respecter le code de santé publique et participe a l'élaboration de la liste des substances dopantes en liaison avec l'Agence du médicament.

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26 février 2012

Conclusion

Le dopage est une pratique très ancienne qui se généralise fortement depuis une dizaine d’année. Ce fléau engendre de multiples dysfonctionnements dans le domaine sportif trop souvent « sali » par des sportifs surpayés, ayant recours à des pratiques illicites telles que la prise de produits dits dopant servant à augmenter les performances des athlètes. Le dopage reste un problème dû avant tout à un dysfonctionnement de la société contemporaine poussant aux vices pour obtenir la vertu, cette société appuie la course a la performance dans le but d’optimiser ces profits personnels. La course à la performance étant aussi présente dans le domaine de la recherche. Les produits et les moyens pour se doper sont de plus en plus développer et donc très difficile à détecter ce qui permet aux sportifs doper d’obtenir une «couverture» pour les protéger de leurs actes déviants. Le dopage est une véritable industrie dans l’économie actuelle et génère de nombreuses déviance dans la société contemporaine. Malgré les efforts et l’envie de lutter contre ce fléau, la société reste tout de même encore trop imparfaite, et les nombreuses déviances ne sont sûrement pas prises en charge de la bonne manière. Les différents organismes politiques tels que le ministère de la santé ou le ministre de la jeunesse et du sport se doivent de mener une lutte contre ce phénomène mais peuvent-ils lutter longtemps contre cette “ruée” vers la performance et le profit? Devrions nous “légaliser” le dopage?

26 février 2012

Synthèse personnelle de Guillaume PERRIN

La synthèse à était rendu sur support papier par Guillaume directement aux professeurs, je n'ai donc pas pu la mettre la en ligne.

26 février 2012

Synthèse personnelle de Benoit REGACHE

Lycée : Henri-Laurens

Année : 2011-2012

Élève : Regache Benoît

Groupe : Perrin Guillaume – Regache Benoît – Paulet Rémy

Thème : Santé et Bien-être

Sujet : Le dopage

Problématique : Le dopage est-il inéluctable dans le monde du sport ?

 Au début de l'année, en première ES au lycée Henri Laurens ( Saint Vallier ), mes amis et moi même avons découvert les TPE. Je savais a peu près ce que c'était, mais c'était tout de même assez flou.

En premier lieu, nous avons former les groupes, et je me suis mis avec Guillaume PERRIN et Rémy PAULET, deux amis depuis assez longtemps.

 

I°)Pourquoi avoir choisi ce sujet ?

 Lors de la première séance de TPE, les professeurs et Monsieur Tardy le proviseur adjoint du lycée nous ont présenté les TPE.

Ils nous ont expliqués en quoi consistaient le projet, et ils ont poursuivis en nous citant les différents thèmes et sujets possibles.

Guillaume, Rémy et moi même étant tous les trois des sportifs, nous voulions un sujet sur le thème du sport. Nous avons donc opter pour le thème Santé et bien-être en axant nos recherches sur les blessures. Mais ne trouvant pas de plan stable et correct, nous avons opter pour un sujet sur le Dopage.

Car à notre sens le dopage n'est pas assez montré, que ce soit les personnes qui se dopent ou les personnes lutant contre ce phénomène pourtant interdit.

 

II°)Recherche de la problématique

 Durant les premières séances, nous avons enfin pu se lancer dans nos premières recherches concernant notre sujet. Nos début était très hasardeux, toute les recherches que nous faisions n'aboutissaient à rien... Nous avons mis la main sur un livre qui s'intituler Dopage et Sport de Bénédicte Halba, nous l'avons tous lu les uns après les autres et en avons sorti quelques points importants qui seraient susceptibles de figurer dans notre plan a venir. Maintenant, il fallait que nous trouvions une problématique, ce qui n'a pas était facile à faire... Nous en trouvions une « En quoi les sportifs mettent-ils leur santé en danger au nom de l'esprit sportif ? » mais cette dernière n'était pas appropriées à ce que nous recherchions dans notre sujet... Nous aboutissions donc à la problématique suivante « Le dopage est-il inéluctable dans le monde du sport ? ». Nous sommes allé présenter notre nouvelle problématique aux professeurs qui la validèrent. Nous étions enfin sur du concret et pouvions désormais commencer nos recherches de manière plus précise.

 

III°)La Démarche

 Au départ, nous recherchions des documents de différentes types ( Texte, magazine, internet ), nous mettions en commun nos recherches puis nous nous rendions compte que le livre dont je citais le nom quelques lignes auparavant allé être capitale pour la suite de notre parcours dans les TPE. En effet le livre nous renseigner sur les trois parties de notre plan. Ensuite, étant donné que notre plan était en trois partie, nous décidions de faire une partie chacun. Je prenais en charge la partie sur les différentes méthodes de dopage.

 

IV°)Bilan personnel

 A travers les TPE, j'ai pu voir d'un nouvel œil le dopage dans le monde du sport... Car en vérité seul les « petits sportifs » ont du mérite, ou plutôt seul les sportifs honnêtes qui mouillent le maillot pour gagner ! Car les personnes se dopant ne devraient pas être qualifiés de « sportifs », en effet ils salissent l'image du véritable sportifs a travers leurs méthodes interdites...

Aussi, j'ai pu apprendre les différentes méthodes de dopant, connaître leur utilités, leur effets... J'ai pu prendre conscience de ce qu'est vraiment le dopage, car certes j'en avais déjà entendu parler à travers l'histoire Contador, mais pas sur le plan de la lutte contre ce phénomène.

Enfin, sur le plan humain, je peux dire que les TPE ont étaient une véritable leçon de vie, car le travail en groupe n'est pas facile, surtout sur plusieurs mois. J'ai su prendre sur moi, ne pas m'énerver, mais certaines fois il fallait que ça sorte... En effet cela n'a pas toujours était tout beau, plusieurs fois nous nous sommes disputer, mais l'amitié faisait que nous reprenions le travail tous ensemble à chaque fois en étant encore plus souder...

Et voilà que six mois plus tard nous pouvons rendre le fruit de notre travail sur un site internet, les heures passés sur ce projet vont enfin aboutir...

26 février 2012

Synthèse personnelle de Rémy PAULET

Lycée : Henri-Laurens

Année : 2011-2012

Élève : Paulet Rémy

Groupe : Perrin Guillaume – Regache Benoît – Paulet Rémy

Thème : Santé et Bien-être

Sujet : Le dopage

Problématique : Le dopage est-il inéluctable dans le monde du sport ?

 Cette année en première ES au lycée Henri-Laurens, j'ai fait la découverte des Travaux Personnels Encadrés, une activité que j'avais déjà entendue parlé mais sans plus de précision.

La première étape a été de former les groupes et c'est instinctivement que je me suis mis avec Perrin Guillaume et Regache Benoît.

 

I°)Pourquoi avoir choisi ce sujet ?

 La première séance de Travaux Personnels Encadrés (TPE) fut un moment de découverte, les professeurs nous ont expliqués en quoi consistaient les TPE : leur but, les modalités de fonctionnement, le carnet de bord, l'évaluation au bac...

Une fois la présentation terminée, plusieurs sujets nous ont été proposés. Nous voulions tous trois un sujet tournant autour du sport nous avons donc pris Santé et Bien-être, plus précisément les blessures, le surentraînement des sportifs mais nous n'arrivions pas à trouver un plan de bonne qualité. Nous nous sommes donc replié sur le dopage dans le sport. Cela nous plaisaient bien car c'est un sujet d'actualité dont on parle souvent mais qu'on ne connaît pas précisément toutes les actions que sa soit ceux qui se dopent comme ceux qui luttent contre le dopage.

 

II°)Recherche de la problématique

 Durant les premières séances, nous nous sommes lancés dans des recherches concernant notre sujet. Les débuts ont été plutôt hasardeux et nos recherches nous apportaient des éléments que l'on connaissaient déjà. Nous avons trouver un livre qui s'intituler Dopage et Sport, chaque membres du groupe la lu et en tirer des points importants à introduire dans le futur plan. A partir de la il fallait trouver une problématique. Notre première problématique a été « En quoi les sportifs mettent-ils leur santé en danger au nom de l'esprit sportif ? » mais c'était trop vague nous avons donc choisi « Le dopage est-il inéluctable dans le monde du sport ? ». Celle-ci fût valider par nos professeurs et nous pouvions donc approfondir nos recherches. Ils nous manquaient le support, au début on avait opté pour un dossier classique puis on a pensé a un site internet, comme ça tout le monde peut le voir et donc découvrir concrètement l'impact du dopage dans le sport.

 

III°)La Démarche

 Au début nous cherchions tous ensemble des textes, des livres ou des magazines portant sur le dopage. Notre principal éléments sur le quelle on s'est reposer a été le livre Dopage et Sport où beaucoup d'éléments rentrés dans notre plan. Nous avons aussi utilisé internet et donc formé une sitographie. Nous reperons des textes interressant pour notre sujet puis on les mettaient de côté. Puis plus les séances passées moins l'on avançait. On décida donc de faire une partie du TPE chacun, il y avait trois parties, nous étions trois cela tombé bien. Nous travaillons donc chacun de nos cotés chez soi et pendant une des heures disponibles en cours puis la deuxième heure nous faisions le point enfin de voir le travail effectuait par chacun.

 

IV°)Bilan personnel

 Nous avons rédigé l'introduction tous les trois puis j'ai personnellement rédiger la troisième grande partie qui est constitué de : l'aspect politique (les lois mises en places et organisation), les contrôles antidopage et la sensibilisation auprès des jeunes en particulier.

En plus des deux heures que nous avions au lycée j'ai travaillé chez moi pour essayer de rattraper le retard que nous avions pris pour trouver notre plan. C'était assez compliqué de gérer à la fois les TPE et les devoirs à la maison. Mais cela ma permit d'apprendre à gérer mon temps pour pouvoir tout faire. J'ai beaucoup apprit sur le dopage, même si j'en entendais souvent parler notamment avec l'affaire Contador. Maintenant je regarde les sports touchés par le dopage, particulièrement le cyclisme, d'un autre point de vue, avec plus d'admiration pour ceux qui ne se dopent pas, qui eux sont des vrais sportifs. Dans le groupe tout n'a pas toujours été tout rose mais il fallait laisser ces problèmes humains de cotés pour se consacrer uniquement sur les TPE. Cela ma permit d'être beaucoup plus patient et de ne pas trop vite m'énerver. J'ai développé une nouvelle façon d'aborder et de considérer les choses. J'ai appris de nouvelles manières de travailler, seul et en groupe par le partage et la communication.

 

26 février 2012

Sitographie & Bibliographie

Sitographie

http://www.lemonde.fr - http://cesames.org - http://cndp.fr - http://unesco.org - http://irbms.com - http://sd-2.archive-host.com

http://cqld.ca - http://caducee.net - http://wikipedia.org - http://volodalen.com

Bibliographie

Atlas du sport mondial  P.Gillon/ F.Grosjean/ L.Ravenel - Dopage et sport  Bénédicte Halba



 

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